#OceanTotalDestruction : l'autre bombe climatique de Total Energies

#OceanTotalDestruction ⚠️

Le projet de gazoduc géant EACOP, qui ravagerait l'Ouganda et la Tanzanie, ne suffisait pas...

L'association Bloom et Claire Nouvian révèlent ce lundi 17 octobre que Total Energies implante une autre bombe climatique, cette fois-ci dans l'océan...

Le mois dernier, le géant industriel français aurait demandé une licence de production pour exploiter deux immenses champs gaziers enfouis à plus de 1000 mètres de profondeur au large de l’Afrique du Sud, dans une zone à la vie marine exceptionnellement riche et diversifiée.

➡️ Signe la pétition pour demander l'arrêt de ce projet climaticide !

Des nouvelles de Total Énergies

Les actualités concernant le géant industriel français ne manquent pas. Voilà un petit récap' si tu es passé·e à côté :

- les tribunes contre Total Énergies se multiplient. Des populations locales, aux ONG et associations climat, en passant par des jeunes catholiques qui demandent aux évèques de prendre position, jusqu'aux étudiant·e·s de grandes écoles qui refusent de rejoindre l'entreprise si elle n'abandonne pas EACOP. 

- le parlement européen a publié une résolution qui s'attaque notamment aux “projets de combustibles fossiles” en Ouganda et en Tanzanie. Les député·e·s dénoncent des “violations des droits humains” et déclarent que plus de 100 000 personnes pourraient être déplacées de façon imminente en raison du projet EACOP sans garanties suffisantes de compensation. Ils et elles demandent à TotalEnergies “de prendre un an pour étudier la faisabilité d’un itinéraire bis pour ce projet afin de mieux protéger certains écosystèmes sensibles et les ressources en eau de l’Ouganda et de la Tanzanie, et de limiter l’impact sur les bassins versants de la région des Grands lacs”.

- en France, six ONG ont porté plainte contre Total Énergies, qui devait comparaître devant le tribunal judiciaire de Paris le 12 octobre dernier. Au cœur de ce procès : le devoir de vigilance. Faute de temps pour examiner les éléments, l'audience est repoussée au 7 décembre.

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